L’horloge marche. Mais sans aiguilles. Elle
n’avance ni ne retarde.
Temps fractionné mais à l’insu. Découpé mais
dans l’inconnu.
Dépisté mais insaisissable. Juste mais injustifié.
Les battements si réguliers du balancier font dire :
« C’est l’heure ». C’est toujours l’heure. Mais
l’heure de quoi.
Ainsi mon corps, ma mécanique, mon ressort,
mon remontoir, mon cadran blanc, mes chiffres
noirs n’ont pas d’aiguilles. Et je ne sais, fabriquant
l’heure, quelle heure il est.
Robert MALET,
L’horloge marche. Mais sans aiguilles. Elle
n’avance ni ne retarde.
Temps fractionné mais à l’insu. Découpé mais
dans l’inconnu.
Dépisté mais insaisissable. Juste mais injustifié.
Les battements si réguliers du balancier font dire :
« C’est l’heure ». C’est toujours l’heure. Mais
l’heure de quoi.
Ainsi mon corps, ma mécanique, mon ressort,
mon remontoir, mon cadran blanc, mes chiffres
noirs n’ont pas d’aiguilles. Et je ne sais, fabriquant
l’heure, quelle heure il est.
Robert MALET,
1. gegedu28 le 04-11-2016 à 10:56:55 (site)
Bonjour,
J'ai beaucoup écouté Joan Baez quand j'étais étudiant, j'aimais beaucoup.
Qu'est-elle devenue ?, on ne l'entend plus beaucoup, ou alors je n'écoute pas les bonnes radios, ... c'est fort possible ! LOL
Bon week-end
Gégédu28
Commentaires